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Titre du livre : Delirium
Auteur(e) : Lauren Oliver
Edition : Black Moon
Nombre de pages : 451
Date de parution : 2013 (version poche)
Résumé : Dans un monde futuriste, l'amour est considéré comme la pire des maladies. A l'âge de dix-huit ans, les jeunes sont immunisés grâce à une opération obligatoire ; ainsi, aucun risque de tomber amoureux. Lena, dix-sept ans et quelques mois, voit la date tant redoutée approcher. Elle se sent prête... Mais elle est loin de s'attendre à rencontrer Alex, un garçon qui fera peut-être tout changer... Et si l'amour devenait réel ?
Commentaire : Un livre magnifique. Epoustouflant. Tragique. Merveilleux. Emouvant. Je n'ai même plus les mots... L'histoire est très bien écrite, on plonge tout de suite dans l'univers de Lena, où l'amour est le pire des maux. On s'attache aux personnages, on vibre avec eux ; c'est un livre rempli de sentiments, mais sans une once de mièvrerie. Certains passages sont si beaux que je les ai lus plusieurs fois de suite... Inutile de parler de la fin - j'en veux à l'auteure d'avoir fini l'histoire ainsi, vivement le deuxième tome... impossible d'attendre. Un gros, gros coup de coeur.
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"Les maladies les plus dangereuses sont celles qui nous donnent l'illusion d'aller bien"
"Une amitié indestructible de plus de dix ans réduite à néant par un coup de scalpel ou un rayon laser. Ce passé commun et tout ce qu'il représente s'éloignent à la façon d'un ballon dont la ficelle vous glisse entre les doigts."
"Je t'aime. Souviens-toi. Ils ne peuvent pas nous enlever ça."
"Je préfère mourir selon ma propre volonté plutôt que vivre selon la leur."
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J'ai eu la chance de rencontrer Yves Grevet, l'auteur de Meto et Nox (traduits dans 8 langues, 13 prix littéraires) à l'occasion d'une interview organisée par la bibliothèque de ma ville. Ce fut une très belle rencontre, Yves Grevet a répondu à de nombreuses questions avec beaucoup de simplicité et d'intérêt. Il a ensuite dédicacé ses livres et s'est pris au jeu des photos.Yves Grevet vient d'une famille ouvrière de banlieue parisienne. Très jeune, il a commencé à écrire. En fait, "j'écris depuis que je sais écrire" nous a-t-il confié.Il a vécu en Turquie, là-bas il a croisé une brume de pollution qui a couvert la ville pendant une certaine période ; c'est cet évènement qui lui a inspiré l'histoire de Nox.Son livre Meto est construit dans un univers très masculin, il n 'y a aucun personnage féminin ; Yves Grevet nous a expliqué qu'il a vécu dans une famille très masculine, donc cela se ressent dans son roman. Pourtant il a déjà écrit un livre seulement avec des femmes.Yves Grevret à mis près de vingt ans à être publié. Il a expliqué qu'il a essuyé de nombreux refus avant que son rêve se réalise enfin. Pour lui, l'autopublication n'est pas une très bonne chose, car il trouve que le travail avec l'éditeur est très important. Son éditrice lui a permis d'améliorer ses manuscrits, de finaliser le travail. Il lui en est assez reconnaissant.Cette rencontre a vraiment été intéressante ; Yves Grevet a beaucoup développé les réponses aux questions, a pris le temps de discuter avec tout le monde. J'ai été ravie de lui parler et d'avoir pris des photos avec lui. :)
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Titre du livre : Aile d'ange
Auteur(e) : Ingelin Rossland
Edition : Rouergue
Nombre de pages : 219
Date de parution : 2013
Résumé : Engel n'a que seize ans, mais c'est déjà une apprentie journaliste très motivée. Elle passe ses vacances d'été dans son petit village de Norvège sur une île paradisiaque : pas question de buller, elle se fait employer en tant que stagiaire dans un petit journal local. Elle n'est pas du genre à obéir à son rédacteur en chef et à publier des articles insipides sur la kermesse du coin... Non, Engel voit plus loin. Elle se met en quête de la vérité et décide de fouiner un peu partout. Au risque de foncer tête baissée et de se mêler à une affaire qui la dépasse largement. Sa première enquête pourrait tout aussi bien être la dernière...
Commentaire : Ce (petit) roman m'a tout de suite plu. On s'attache très vite à Engel et on se met facilement à sa place, avec son côté rebelle et effronté. L'histoire est palpitante, plutôt bien mise en scène et très bien écrite, ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas du tout et qu'on peut presque la lire d'une traite ! C'est la première fois que je lis un "polar nordique" et le côté haletant des aventures de l'héroine m'a beaucoup plu. Un super bouquin à lire pendant les vacances, par exemple.
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"Je ne suis qu'une pauvre conne, une idiote de base qui n'a rien trouvé mieux que de se faire une floppée d'ennemis en l'espace de quelques semaines."
"La sensation de sommeil qui engourdissait mon corps il y a quelques minutes est remplacée par un chatouillement enivrant. Il se passe enfin quelque chose."
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Titre du livre : Ce que j'ai oublié de te dire
Auteur(e) : Joyce Carol Oates
Edition : Albin Michel
Nombre de pages : 341
Date de parution : 2013
Résumé : Rien se va plus que depuis que Tink s'est s******e. Merissa et les anciennes amies de Tink n'arrivent même pas à prononcer ce mot. Tink est... m***e. Elles vivent toutes un cauchemar ; rien ne va plus dans leur vie. Les amours, la famille, le chaos est partout. A cause de Tink ? Car ce n'est pas comme si cette dernière ne les avait pas prévenues... Ce n'est pas comme si elle ne les y avait pas préparées. Elles savaient toutes que quelque chose n'allait pas ces derniers mois... Mais Tink n'est pas totalement m***e, elle est là, quelque part, elle est contemple avec désespoir la vie de cauchemar qu'elle a laissé à ses amies en partant.
Commentaire : C'est un livre très sombre et très mystérieux qui m'a de suite attirée lorsque j'ai lu son résumé. Je m'attendais à une histoire forte, où l'on plonge dans les méandres de l'esprit des adolescentes, où la psychanalyse et les sentiments se devaient d'être exploités... J'ai donc été très déçue. L'auteure n'explore pas assez les sentiments et le passé des filles (surtout de Tink), on a du mal à comprendre. Au final, après l'avoir lu en entier, je trouve même que ce livre n'a aucun sens, aucune histoire (pas de fil conducteur, à vrai dire...). Passé, futur, présent, on ne sait plus où on en est. Une grosse déception.
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« C’est pourquoi le jour où la nouvelle était tombée, que Tink s’était t**e, Tink était m***e, la première pensée qui était venue à l’esprit de Merissa et ses amies avait été Arrête, Tink ! C’est pas drôle. »
« Certains secrets sont tellement toxiques qu’ils sont impossibles à partager. Surtout si tu aimes la personne avec laquelle tu voudrais les partager. »
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